10 mars – 13 avril 2018
La complexité de la nature humaine est le point de départ de mes réflexions. Celles-ci, donnent à ma pratique un ton viscéral et existentiel qui aborde, jusqu’à présent, des sujets tels que: la fragilité, la souffrance, la mémoire, l’émotion, la catharsis, la résilience, l’éphémère, entre autres.
L’action de casser, détruire, altérer, décontextualiser, transformer ou réparer est une manière de faire référence à la vulnérabilité de l’existence, des relations et des limites qui nous cloisonnent et/ou nous préservent.